J'ai mené ce projet d'équipe, qui a penché sur la question assez vaste de comment et pourqoi fournir de l'accès public à la centaine de chutes d'eau répandues dans la ville de Hamilton, Ontario, et si on même devrait le faire, vu des circonstances particulières.
en avril 2021, nous avons d'abord fait une présentation aux membres de l'Association d'architectes paysagistes de l'Ontario (OALA). Ensuite, nous l'avons transformée en article pour la publication trimestrielle de l'OAlA, Ground Magazine, publiée en été 2022.
Les images ci-dessous sont issues de ma partie du projet et traitent de quelques projets municipales qui touchent cette question.
Toutes les oeuvres sont de moi, sauf indication contraire.
Les chutes inférieures de Chedoke (image ci-dessus):
La ville a connu une augmentation exponentielle des accès non-autorisés, comme on le voit ici en avril 2021, où j'ai tracé ce chemin difficile, voire dangereuse.
Ce jour-là, j'ai compté au moins 50 personnes effectuant ce même parcours, dont des personnes âgés et des familles avec des petits.
En 2017, lors d'une crue soudaine, les services de secours ont dû secourir en bateau une famille de cinq personnes qui s'étaient retrouvée par les eau. Malgré les dangers, il n'est pas du tout possible de bloquer la route vers ces sites qui sont répartis dans toute la ville. La foule est toujours au rendez-vous.
Les réseaux sociaux y ont énormément contribué, notamment grâce à la géolocalisation et la recherche incessante pour épater la galerie.
La ville doit donc faire quelque chose à résoudre ce problème.... mais le processus de livraison des projets qui pourraient s'y attaquer prend du temps: